Enfance

L'enfant ne peut pas attendre, son nom est AUJOURD'HUI. G. Mistral

lundi 31 janvier 2011

Du réveil à l'éveil


Ceux qui n'ont pas réveillé leur esprit, vivent asservis par l'extérieur.
Ils rêvent pas seulement lorsqu'ils dorment, mais même avec les yeux ouverts,
Ils vivent dans un rêve.
A la croisée de l'hallucination et de la superstition,
Ils participent au déclin de l'humanité par omission d'eux-mêmes.

Réveille toi l'Ami !
Que la vie t'assoiffe de vérité,
Pour qu'en dépassant le mensonge à toi,
Tu agisses avec lucidité,
Sans ne plus trahir ton frère, ton père, ton fils, ton voisin ou le sexe opposé.
Ne te soucie point ni du temps ni de ton succès,
Sois éveillé à ce que tu fais et
Pourquoi tu le fais.
C'est ainsi que tu t'aimeras et seras aimé.

Clic ici Témoignage d'un Ami Eveillé

samedi 29 janvier 2011

Spiritualité intégrée

Opposer ce qui fait partie intégrante de nous est jouer avec la dualité et manipuler... Le coeur n'a pas plus d'importance que l'esprit, lorsque les deux sont connectés, à la lumière de la conscience, ils prennent leur sens... Le corps suit et l'être poursuit son évolution... Philippe Vekens

vendredi 28 janvier 2011

R'Eveil


Grande est la question de la naissance et de la mort.
Tout est impermanent et passe rapidement.
Réveillez-vous!
Éveillez-vous !
Ne gaspillez pas cette vie !
Formez vous à faire le bien.
Cela dure et apporte le bonheur.
Cultivez la générosité, la vie de paix,
Et un esprit d'amour illimité.
Paroles inspirées par Bhante Saranapala
Claire M

jeudi 27 janvier 2011

Souvenir

Le Souvenir...
c'est la présence dans l'absence
c'est la parole dans le silence
c'est le retour sans fin d'un bonheur passé
auquel le coeur donne l'immortalité
Lacordaire
 

Responsabilisation

Une par une, petit à petit, à chaque instant, un homme sage doit enlever ses propres impuretés, comme un forgeron enlève l'écume de l'argent.

One by one, little by little, moment by moment, a wise man should remove his own impurities, as a smith removes his dross from silver. 
Dhammapada 239

Responsabilisation

 En faisant le mal, on se souille ; en évitant le mal, on se purifie.
La pureté et l'impureté dépendent de soi-même ;
Personne ne peut purifier un autre à sa place.
By doing evil, one defiles oneself ; by avoiding evil, one purifies oneself.
Purity and impurity depend upon oneself: no one can purify another. 

Dhammapada 165



mardi 25 janvier 2011

Posture



Générosité, mots gentils,
Rendre service à autrui,
Et traiter toutes les personnes de la même façon :
Ces liens de sympathie sont au monde
Ce que l'essieu est à la roue de char.
 
Paroles de Bouddha transmises par Banthe Saranapala
Traduction Claire M

lundi 24 janvier 2011

Des Apprentis Sages

Qu'il soit parent, professeur, ami, il en est dont les paroles sont d'une compréhension immédiate tout en nous éveillant. L'expression "boire ses paroles" prend ici tout son sens.



Pour répondre à la question "qu'ont-ils de si spécial qui nous comble aussi simplement et durablement ?", j'ai remonté le temps de mes rencontres afin d'observer celles qui ont contribué à ma réflexion et orienté ma vision.

3 sources d'information me sont apparues très distinctement :
- le savoir
- la science
- la connaissance

Qui en sont les transmetteurs ?
- le théoricien
- le pratiquant
- l'humaniste

Quelles sont les modalités d'apprentissage ?
- le théoricien diffuse une information sans la pratiquer pour lui même (le savoir)
- le pratiquant diffuse une information pratiquée mais séparée du reste (la science)
- l'humaniste diffuse une information pratiquée et intégrée à la vie à commencer par la sienne (la connaissance)

Conclusion :
Sans le savoir, la pratique est irréalisable
Sans la pratique, l'humanisme est impensable
"L'exemple, ce n'est pas le meilleur moyen de convaincre, c'est le seul" Gandhi

Point de vue de Claire M

mercredi 19 janvier 2011

Le Manifeste de l'Eau pour un contrat mondial



de Riccardo Petrella

Le droit de tous à la vie 
 
Nous venons d’Afrique, d’Amérique Latine, d’Amérique du Nord, d’Asie, d’Europe. Nous nous sommes rassemblés à trois reprises en 1998 sans autre légitimité et représentativité que celle d’être des citoyens concernés par le fait qu’1 milliard et 400 millions de personnes sur 5,8 milliards d’habitants de la planète n’ont pas accès à l’eau potable, source primordiale de vie. Ce fait est inacceptable. Or, le risque est grand qu’en 2020, lorsque la population mondiale atteindra environ les 8 milliards d’êtres humains, les personnes n’ayant pas accès à l’eau potable s’élèvent à plus de 3 milliards. Cela est inadmissible. On peut, on doit empêcher que l’inadmissible devienne acceptable. Comment ? 
Nous pensons qu’il sera possible de le faire en appliquant les principes et les règles ci-dessous. 

 
L’eau "source de vie" appartient aux habitants de la Terre en commun. 
 
En tant que "source de vie" fondamentale et non-substituable de l’éco-système Terre, l’eau est un bien vital qui appartient aux habitants de la Terre, en commun. Aucun d’entre eux, individuellement ou en groupe, ne devrait avoir le droit d’en faire son appropriation privée. L’eau est un bien patrimonial commun de l’humanité. La santé individuelle et collective en dépend. L’agriculture, l’industrie, la vie domestique y sont liées. Il n’y a pas d’accès à la production de la richesse sans accès à l’eau. L’eau, on le sait et tout le monde le dit, n’est pas une ressource comme les autres ; elle n’est pas une marchandise échangeable, monnayable. Son caractère irremplaçable fait que toute communauté humaine -et chacun de ses membres- a le droit d’avoir accès à l’eau, en particulier à l’eau potable, en quantité et qualité nécessaires et indispensables à la vie et à l’activité économique. 

 
Principes 
 
Le droit à l’eau est un droit inaliénable individuel et collectif 
 
L’eau appartient davantage à l’économie des biens communs et du partage de la richesse qu’à l’économie de l’accumulation privée et individuelle et de la prédation de la richesse d’autrui. Alors que le partage de l’eau a été souvent dans le passé source majeure d’inégalités sociales, nos civilisations d’aujourd’hui reconnaissent que l’accès à l’eau est un droit fondamental, inaliénable, individuel et collectif. Le droit à l’eau fait partie de l’éthique de base d’une "bonne" société humaine et d’une "bonne" économie. Il appartient à la société dans son ensemble et aux différents niveaux d’organisation sociétale, selon le double principe de co-responsabilité et de subsidiarité, de garantir le droit d’accès pour tous et pour toute communauté humaine sans discrimination aucune de race, de sexe, de religion, de revenu, de classe sociale. 
 

Principes 
 
L’eau doit contribuer à la solidarité de vie entre communautés, pays, sociétés, sexes et générations 
 
Ce n’est pas parce que les ressources en eau douce sont inégalement distribuées sur Terre, ou parce que le revenu est aussi très inégalement réparti entre les êtres humains et les pays de la planète, qu’il doit y avoir également inégalité d’accès à l’eau entre personnes et communautés humaines. De même, l’inégalité dans la distribution de la ressource et des revenus ne signifie pas que les peuples riches en eau et les personnes riches en revenu puissent en faire l’usage qu’ils veulent, voire la vendre (ou l’acheter) "à l’étranger" pour en tirer le maximum de profit (ou de jouissance). Il est temps que l’eau cesse d’être, dans de nombreuses régions du monde, source de grandes inégalités entre les hommes et les femmes, ces dernières supportant tout le fardeau des activités domestiques liées à l’eau. Il y a encore aujourd’hui, à l’aube du troisième millénaire, trop de guerres entre États voisins à cause de l’eau, car les États concernés, qui se trouvent en meilleure position géo-économique, utilisent l’eau comme un instrument au service de leurs intérêts stratégiques de puissance "hégémonique" locale. Il est possible de soustraire l’eau aux logiques de l’État-puissance pour la rendre res publica sous la tutelle de l’État-citoyen. 

 
Principes 
 
L’eau est une affaire de citoyenneté et de démocratie 
 
Créer les conditions nécessaires et indispensables pour que l’accès à l’eau soit effectif et optimal, c’est l’affaire de tout le monde. C’est une affaire aussi entre générations. Il appartient en effet, aux générations actuelles d’utiliser, valoriser, protéger, conserver les ressources en eau de manière à ce que les générations futures puissent jouir de la même liberté d’action et capacité de choix que nous souhaitons pour nous actuellement. Le citoyen doit être au centre des décisions. La gestion intégrée durable et solidaire de l’eau est du domaine de la démocratie participative, représentative et directe. Elle dépasse les compétences et les savoir-faire des techniciens, des ingénieurs, des banquiers. L’usager (consommateur solvable et non-solvable) a un rôle important à jouer par ses choix judicieux et ses pratiques guidées par les principes d’une économie et d’une société durables. 
 

Principes 
 
Toute politique de l’eau implique un haut degré de démocratie au niveau local, national, continental, mondial 
 
Par définition, l’eau appelle une gestion décentralisée et transparente. Les dispositifs de la démocratie représentative doivent être renforcés. Un champ considérable est ouvert aux dispositifs de la démocratie participative au niveau des villages, des villes, des bassins aquifères, des régions. Des cadres réglementaires clairs au niveau international et mondial doivent faire émerger et rendre visible la politique durable et solidaire de l’eau au niveau de la communauté mondiale. Les instances parlementaires sont appelées à jouer un rôle fondamental dans la construction d’un droit mondial de l’eau au cours des vingt prochaines années. Nous pensons aussi qu’il est urgent et indispensable de (re)valoriser les pratiques locales et traditionnelles. Un patrimoine considérable de savoirs et de compétences et de pratiques communautaires solidaires, d’une très grande efficacité, a été dilapidé. Il risque d’être détruit encore davantage dans les années à venir. 

 
Principes 
 
L’accès à l’eau passe nécessairement par le partenariat. Il est temps de dépasser les logiques des "seigneurs de la guerre" et des conflits économiques pour l’hégémonie et la conquête des marchés 
 
La citoyenneté et la démocratie se fondent sur la coopération et le respect mutuel. Elles vivent par et dans le partenariat. "Partenaires pour l’eau" est le principe inspirateur de tous les dispositifs (tels que "les contrats de rivière") qui ont permis ces derniers temps de surmonter efficacement les conflits qui dans certaines régions du monde ont traditionnellement envenimé les relations entre communautés riveraines ou partageant le même bassin hydrographique. Nous soutenons, bien entendu, un partenariat local/national/mondial, public/privé réel, fondé sur le respect des diversités, où les multiples logiques et cultures en présence peuvent équitablement contribuer à la gestion intégrée, solidaire et durable de l’eau, dans l’intérêt général. Un partenariat qui ne serait que formel, soumis, en réalité, aux logiques et aux intérêts des acteurs privés en compétition acharnée entre eux pour la conquête du marché -ce qui serait inéluctablement le cas si l’eau devait être reconnue comme étant surtout un bien économique et un bien marchand- ne pourrait que nuire à l’objectif de l’accès à l’eau pour tous et de la gestion intégrée, durable et solidaire des ressources en eau. 
 

Principes 
 
Nous pensons que la prise en charge financière de l’eau doit être à la fois collective et individuelle selon les principes de responsabilité et d’utilité 
 
Assurer l’accès de base à l’eau pour la satisfaction des besoins vitaux élémentaires et fondamentaux de toute personne et de toute communauté humaine est une obligation pour la société dans son ensemble. C’est la société qui doit assumer collectivement la couverture de l’ensemble des coûts relatifs à la collecte, production, stockage, distribution, utilisation, conservation et recyclage de l’eau en vue de fournir et garantir l’accès à l’eau dans la quantité et en qualité considérées comme étant le minimal vital et nécessaire indispensable. L’ensemble de ces coûts (y compris les externalités négatives qui ne sont pas prises en compte par les prix du marché) sont des coûts sociaux collectifs au niveau des communautés humaines de base. Ceci devient encore plus vrai et significatif à l’échelle d’un pays, d’un continent et de la société mondiale. Leur financement doit être assuré par voie de répartition collective. Les mécanismes de tarification individuelle, selon des prix progressifs, doivent intervenir à partir d’un usage de l’eau dépassant le minimum vital nécessaire et indispensable. Au-delà du minimum vital, la progressivité des prix est fonction de la quantité utilisée. En outre, tout abus et excès dans l’usage doivent être considérés illégaux.
Pour que ces principes et ces règles deviennent des réalités vivantes au cours des 20-25 prochaines années, lorsque deux milliards d’êtres humains viendront s’ajouter à la population actuelle, nous proposons que les mesures suivantes soient prises et mises en oeuvre, sorte de "Contrat Mondial de l’Eau", selon deux axes majeurs.

  • la constitution d’un "réseau de parlements pour l’eau"
  • la promotion de campagnes d’information, de sensibilisation et de mobilisation autour de "L’eau pour tous".
Nous proposons d’outiller l’initiative du Contrat Mondial de l’Eau d’un instrument de collecte et d’analyse de données (quantitatives et qualitatives) les plus rigoureuses possibles, grâce à la mise en place progressive d’un Observatoire Mondial des Droits de l’Eau. 
 

Constitution d’un Réseau de Parlements pour l’Eau 
 
C’est aux Parlements, organes principaux de la représentation politique dans les sociétés "occidentalisées", ou aux institutions comparables dans d’autres contextes civilisationnels, que revient la responsabilité de modifier les législations existantes en application aux principes et aux règles ci-dessus explicités. Définir un corpus juridique nouveau en matière d’eau, non seulement au plan local et national mais également au plan international et mondial (un "droit mondial de l’eau") constitue une tâche primordiale face au vide juridique existant dans ce domaine à l’échelle mondiale. La priorité est à donner à un "Traité Mondial de l’Eau" fondé sur le principe de l’eau en tant que bien vital patrimonial commun de l’humanité. Ce "traité", par exemple, exclurait l’eau de toute convention internationale commerciale (dans le cadre de l’OMC), comme c’est déjà le cas pour le domaine culturel. 
 

Propositions 
 
Promotion de campagnes d’information, de sensibilisation et de mobilisation concernant: 
  • 1 le développement (ou modernisation) des systèmes de distribution et d’assainissement des eaux pour les 600 villes des pays d’Afrique, d’Asie, d’Amérique Latine et d’Europe orientale et Russie qui auront plus d’un million d’habitants en 2020 et dont le système d’eau est déjà aujourd’hui inadéquat, obsolète, voire inexistant. 
  • 2 la lutte contre les nouvelles sources de pollution des eaux dans les villes des pays d’Amérique du Nord, d’Europe Occidentale et du Japon dont le contamination du sol et des nappes phréatiques de surface et en profondeur est de plus en plus inquiétante, grave et, dans certains cas, irréversible. Il s’agit, concrètement, à partir de programmes locaux au niveau urbain de réaliser l’objectif de la création de "3 milliards de robinets d’eau".Les mouvements associatifs, les ONG, les syndicats, les scientifiques ont à cet égard un rôle essentiel et déterminant à jouer.

A cette fin, la priorité est à donner à :
  • La réforme profonde des systèmes actuels d’irrigation liés au mode de production agricole (et agro-alimentaire) industriel, intensif. Les solutions existent, entre autres l’irrigation "goutte à goutte".
    L’agriculture actuelle "moderne" est la principale consommation des ressources en eau douce de la planète (70% des prélèvements totaux mondiaux, dont la très grande partie est liée à l’irrigation). Or, 40% de l’eau d’irrigation se perd chemin faisant. En outre, ses excès sont à l’origine de graves atteintes et menaces à l’environnement par la salinisation des sols et l’hydromorphisme (engorgement) 
  • Un moratoire de 10 à 15 ans en ce qui concerne la construction de nouveaux grands barrages dont l’on connaît désormais les inconvénients considérables à court et à long terme pour l’environnement, les populations, la gestion intégrée et durable de l’eau.

Mise en place d’un Observatoire Mondial des Droits de l’Eau 
 
Le but de l’observatoire sera de collecter, produire, distribuer, disséminer les informations les plus rigoureuses et fiables possibles en matière d’accès à l’eau du point de vue des droits individuels et collectifs, de la production d’eau, son utilisation, sa conservation/protection, sa gestion durable et démocratique. L’Observatoire devrait devenir l’un des dispositifs d’information et de communication de référence mondiale notamment pour la valorisation des pratiques effectives de partenariat réel et de gestion solidaire. 




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En synthèse : RESPONSABILISATION DE CHACUNE ET CHACUN...
A l'évidence, si je ne me donne pas les moyens de mes ambitions de changement, tout projet restera dans l'oeuf.
Sortir de la plainte caractérisée, c'est prendre conscience que nous avons encore la possibilité de réseauter pour déclencher un autre courant de pensée ! à commencer par soi-même.
J'adresse mes plus chaleureux remerciement à Philippe, Isidor, Olivier, Claudette, Azim et toutes les personnes qui partagent une même vision déclarée par Stéphane Hessel :


« Tout ce qui est souhaitable est possible ! »

Claire M



Editions Labor, Bruxelles, 1998, 160 pages
Personnalités ayant participé à la rédaction de l’ouvrage : 
Mario Soares, ancien Président de la République du Portugal
Mario Albornoz, Professeur à l’Université de Quilmès, Argentine
Raoul Alfonsin, ancien Président de la République d’Argentine
Driss Ben Sari, Professeur à l’Université de Rabat, Maroc
Rafael Blasco Castany, Presidencia de la Generalitat Valenciana
Rinaldo Bontempi, Membre du Parlement européen, Italie
Larbi Bouguerra, Professeur, Groupe de Lausanne, Tunisie
David Brubaker, Global Resource Action for the Environment, USA
Joao Caraça, Directeur à la Fondation Gulbenkian, Portugal
Susan George, Directeur adjoint du Transnational Institute, France/USA
Antonio Gonçalves Henriques, Vice Président de l’Istituto do Aguà, Portugal
S.A.R. le Prince Laurent, Président de l’Institut Royal pour la Gestion Durable des Ressources Naturelles, Belgique
Candido Mendes, Sénateur, Président de l’Université Candido Mendes, Brésil
Hasna Moudud, Présidente, National Association for Resources Improvement, Bangladesh
Sunita Narain, Directrice adjointe du Center for Science and Environment, Inde
José Antonio Pinto Monteiro, Ministre de l’Environnement, Cap-Vert
Pierre-Frédéric Ténière-Buchot, Mission Eau, Programme des Nations-Unies pour l’Environnement (PNUE) , France
Abou Thiam, Professeur à l’Université de Dakar, Sénégal
Lars Ulmgrend, Secrétaire Général du Stockholm Institute, Suède
Anders Wijkman, Directeur au Ministère des Affaires Etrangères, Suède
Riccardo Petrella, Secrétaire du Comité, Président du Groupe de Lisbonne, Italie

samedi 15 janvier 2011

mardi 11 janvier 2011

Le revenu de base

Vers un nouvelle organisation sociétale
Humaniste et Novatrice
au delà du clivage croissance/décroissance économique

Carlos Alberto Bau
 « Un revenu, c’est comme l’air sous les ailes de l’oiseau ! ». C’est ainsi que commence le film.
Est-ce que ce revenu devrait être inconditionnel pour chacun ? Est-ce possible, un droit civique économique ?

Le film est captivant, il fait réfléchir, il touche et met le doigt sur ce qui est raisonnable.
Il permet de voir la situation de la société et le devoir de l’argent sous un jour nouveau. Un thème d’une actualité brûlante.
"1h36' absolument passionnantes sur le revenu de base inconditionnel réalisé par un groupe de réflexion allemand qui compte pas moins de 300 000 membres. Ils ont une bonne longueur d'avance sur nous." 

Objet : Plutôt que faire espérer un emploi à chacun, dont la face cachée est besoin du marché court terme, compétition, concurrence, dumping, restriction, précarité, maltraitance, isolement, inflation, etc...
garantir un revenu d'existence à chacun, inaliénable et inconditionnel, qui assurerait ses  besoins vitaux avec descence : nourriture, habitat, énergie, activités sociales, intégration !

Moyen : Par une répartition différente des ressources de l'état, ce revenu de base s'auto-génèrerait à partir de l'impôt sur les dépenses de consommation. L'impôt sur le revenu disparaitrait. 


Résultat : Chacun serait responsable de ses choix en terme d'activités, métier et évolution de carrière ; choisir d'avoir ou pas un métier pour augmenter ce revenu de base, tout comme refuser une offre seraient décisions de son plein gré. Par ailleurs, lui retirer son métier ou l'exiler en raison de son âge ou des besoins, par exemple, ne serait plus possible. L'excellence serait mise dans la qualité de vie par le vrai choix de l'homme pour une activité épanouissante au sein d'une communauté équilibrée.

Conclusion : Le revenu de base, c'est répondre au comment :
  • éradiquer la pauvreté
  • supprimer la peur des vieux jours
  • éliminer les tensions sociales
  • diminuer la maladie
  • rendre la dignité humaine

Le revenu de base autonomiserait tout en responsabilisant !

Le changement est en cours : sortons de la réactivité, allons vers l'anticipation ! 

Nous vivons une époque formidable !

Revue de presse

« C’est un petit film intelligent sur l’état de notre monde. Une tentative d’explication du fonctionnement du revenu de base, qui le financerait et ce qu’il pourrait changer. »
Mikael Krogerus, brand eins

« Le film sur le revenu de base est beaucoup plus qu’un assemblage de questions, de réponses et d’arguments. Certes, on y voit de nombreux témoins de notre époque, il y a des graphiques et tout ce qu’il se doit dans un documentaire éducatif, mais il y a aussi des conceptions étonnantes et utopiques. »
« Si chacun est son propre roi, personne ne doit être le roi de l’autre. »
Michael Sennhauser, radio DRS


« Le film « Revenu de base » éveille la curiosité et invite à réfléchir. Une leçon d’économie à ne pas manquer. »
Basler Zeitung


« Le film laisse une profonde impression. Il fait réfléchir et encourage l’activité individuelle. Il enlève la crainte devant l‘inconfort de la pensée. Il éveille un vif intérêt et une prise de conscience envers le fonctionnement de la société. Une impulsion culturelle au-delà de l’idéalisme, un défi ! »
Nadine Aeberhard-Josche, Info3

Le téléchargement du film est gratuit mais le dvd peut être commandé sur le site. (participation aux frais CHF 28.-, frais d'envoi en Europe compris)

Avec l'accord d'Avi pour http://www.etreplus.fr  
Mes remerciements les plus chaleureux 
Claire M
 

vendredi 7 janvier 2011

Dans le miroir

 Si casser le miroir est facile, se voir dedans est plus difficile...
Cet exercice s'appelle "les pieds sur terre" !
Arrêt sur image
C'est par le regard de l'enfant que l'adulte cesse d'être infantile et comprend ce que vivre signifie.
Vivre, c'est s'élever au dessus des limites de ses propres intérêts égoïstes.
Vivre, c'est assurer la disponibilité des ressources naturelles pour la 7ème génération. 
 
Vivre, c'est prendre la voie du coeur pour agir.

jeudi 6 janvier 2011

De la qualité des informations dépend la qualité des relations



L'humanité serait depuis longtemps heureuse, si tout le génie que les hommes mettent à réparer leurs erreurs, ils l'employaient à ne pas les commettre.
Bernard Shaw

Zoom arrière 

Considérées les paroles d'Antoine de Saint-Exupéry : 

Nous nous sommes trompés trop longtemps sur le rôle de l'intelligence. Nous avons négligé la substance de l'homme. Nous avons cru que la virtuosité des âmes basses pouvait aider au triomphe des causes nobles, que l'égoïsme habile pouvait exalter l'esprit de sacrifice, que la sécheresse de coeur pouvait par le vent des discours fonder la fraternité ou l'amour...
  • La grandeur d'un métier est d'unir les Hommes
  • Le seul luxe véritable est celui des Relations Humaines
  • En travaillant pour les seuls biens matériels, nous bâtissons nous-mêmes notre prison, avec notre monnaie de cendre qui ne procure rien qui vaille de vivre

Il est temps que chacun prenne ses responsabilités vis-à-vis des informations qu'il émet !

Car ce qui part de lui conditionne la qualité des relations avec sa famille, ses amis, ses voisins, ses collègues de travail, son milieu social,... le monde.

  1. Soyons éclairés sur la nature des informations que nous véhiculons ; ne soyons plus étrangers à nous-mêmes.
  2. Reconnaissons notre propre guidance émotionnelle ; larguons les informations qui nous en détournent et nous épuisent.
  3. Mettons l'emphase sur nos intentions positives ; attirons les informations qui les nourrissent.
  4. Créons notre monde ; un monde de paix, d'amour, de joie et de bonne santé.
Claire M 



mercredi 5 janvier 2011

Liberté

L'élément tragique pour l'homme moderne, ce n'est pas qu'il ignore le sens de sa vie, mais que ça le dérange de moins en moins.
Vaclav Havel


Aller vers...

Partage de Diane pour www.artsdeleveil.net
Traduction réalisée par Kathy
Mise à disposition par Avi pour www.etreplus.fr
Avec mes plus chaleureux remerciements


En quelque circonstance que tu te retrouves,
demeure comme une ile au milieu des vagues,
comme une montagne au milieu des nuages.

Du Silence... à demain

Johann Heinrich Fussli - Silence (1799-1801)
 L'avenir est aux mains des gens ordinaires
Ceux qui boivent la misère jusqu'à la lie
Ceux qui n'invectivent pas contre autrui
Ceux qui honorent l'alliance entre eux et la terre
En silence....
Claire M
 

samedi 1 janvier 2011

Passage



Que les illusions soient levées
Que les vérités soient dévoilées
Que le virus de la peur soit annulé
Que les attaches au faux soient déliées
Que le changement individuel soit activé
Pour qu'en chacune et chacun d'entre nous
Paix, auto-suffisance, joie et santé soient Réalité
Que chaque jour de cet an 2011 renforce Foi et Volonté
Dans la Gratitude que nous soyons en Vie pour nous aimer
Soyons heureux d'Être
Claire M